Media room - Universite des Mascareignes
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Enseignement supérieur : certains détenteurs de diplômes peuvent bénéficier de la gratuité

29 January 2020


Pour tout premier certificat, diplôme ou licence, un étudiant est exempté des frais de scolarité d’après les derniers règlements du ministère de l’Éducation. Or, certains détenteurs d’un diplôme non universitaire, se sont vu réclamer des paiements. Que se passe-t-il dans un tel cas? Combien paie-t-on sans exemption?   Fraîchement inscrit à une licence, Leckraj se réjouissait de l’exemption des frais universitaires. Mais il a vite déchanté. «Je me suis inscrit l’an dernier. J’avais soumis avec mon dossier tous mes certificats, y compris un diplôme technique de l’institut City and Guilds et signé la fiche d’exemption après les vérifications par l’administration. Mais alors que je voulais m’enregistrer pour le deuxième semestre,le système m’a réclamé Rs 24 000 pour quatre modules au lieu de Rs 4 000 en frais administratifs»,confie le jeune homme. Contactant l’université en question, on lui dira d’abord qu’il s’agit d’une erreur de serveur et que seuls les frais administratifs doivent être payés. Lorsque Leckraj s’y rend, il tombe des nues. Un paiement de Rs 24 000 est bel et bien exigé à cause de son diplôme antérieur. Mais, rétorque-t-il, celui-ci n’est pas d’origine universitaire. Après deux heures d’argumentation et d’allers-retours entre divers départements, l’étudiant ne paiera finalement que les frais adminitratifs: «Le pire c’est que j’ai des collègues dans la même situation et qui sont toujours en suspens.»
Gratuité des études supérieures : hausse importante pour les inscriptions dans certaines universités publiques

26 August 2019


Des études supérieures gratuites, une réalité à Maurice depuis l’annonce du Premier Ministre en janvier dernier. Ouf de soulagement pour de nombreux parents et étudiants. Mais quel impact sur ces universités publiques ? Tour d’horizon.

 

Après sept ans, elle a décidé de reprendre ses études. Stacy V., mère de famille de 27 ans, s’est longtemps demandé si elle recommencerait un jour à apprendre. Si, après avoir quitté le collège, elle s’était dit qu’elle irait à l’université, elle s’est vite retrouvée emprisonnée dans le monde du travail, car ses parents n’avaient pas les moyens de lui payer des études tertiaires. Elle a eu besoin de travailler. « Je me suis alors dit que je travaillerais pour ramasser de l’argent et faire des études. Sauf qu’en travaillant, on travaille encore plus, on commence à dépenser et finalement, on s’habitue à ce train-train quotidien. »

 

Elle avoue cependant avoir ressenti un pincement au cœur en voyant ses anciens camarades de classes obtenir leurs diplômes. « à chaque fois que je voyais des photos sur les réseaux sociaux, je me disais que ça aurait pu être moi. Et puis, j’ai commencé à avoir des complexes et finalement, je me suis éloignée de toutes ces personnes qui me demandaient si j’avais fait des études à l’université. » Entre-temps, Stacy est devenue mère. Elle a aujourd’hui un petit garçon de deux ans. La mesure annoncée par le Premier ministre a créé un déclic dans sa tête.

Bibliothèque nationale: le sauvetage numérique des vieux journaux enclenché

5 August 2019


Vacances studieuses. De 10 heures à 14 heures, des étudiants de l’université des Mascareignes se relaient ces jours-ci au chevet de vieux journaux. La numérisation de ces pièces d’archives a enfin commencé à la National Library. Un pas franchi dix ans après l’entrée en opération de l’institution sise au Fon Sing Building, à la rue Edith Cavell, à Port-Louis.

 

Le premier jour, le mercredi 10 juillet, c’est avec des exemplaires de La Balance, datant du lundi 4 février 1833, un journal aujourd’hui disparu, que le processus a été lancé. Petit paradoxe : le carnet où les heures de présence des étudiants sont notées à la main indique que 182 pages ont été scannées le premier jour. Première étape : scanner les vieux journaux page par page. Pour cela, l’étudiant est équipé d’un masque et de gants. Pour manipuler les pages fragiles, il utilise un petit accessoire jaune, ce qui évite le contact entre la main et le papier jauni.

Les Assises de la recherche à l’Université des Mascareignes – Une première édition couronnée de succès.

24 July 2019


Les 26-28 juin 2019, l’Université des Mascareignes a organisé la première édition des « Assises de la recherche », un moment inédit et fondateur pour l’épanouissement de la recherche dans cette jeune université mauricienne, initié et porté par sa présidente Nathalie Bernardie-Tahir.

 

L’ambition était double : structurer l’ensemble des travaux de recherche en cours autour de thèmes fédérateurs, et échanger avec des représentants des secteurs professionnels et institutionnels de l’île Maurice pour co-construire avec eux des projets qui répondent aux exigences académiques et aux besoins du territoire mauricien. L’ensemble des présentations scientifiques et des échanges effectués entre les parties prenantes ont fait l’objet d’une synthèse restituée lors de la dernière demi-journée en présence de la Ministre de l’enseignement supérieur, de l’Ambassadeur de France à Maurice, du directeur de l’AUF (océan Indien) et d’un parterre de chefs d’entreprise et de leaders institutionnels.

 

L’université de Limoges a apporté tout son soutien à l’organisation de cet événement, que ce soit dans la longue préparation en amont ou dans son déroulé auquel ont activement participé Ouiddad Labbani-Igbida, professeure à l’ENSIL-ENSCI, Loïc Artiaga, Vice-Président Médias, et Antoine Mathieu, directeur du Pôle International.

Université : de l’océan indien au Limousin

17 June 2019


Trois étudiants venus de l’île de Maurice sont actuellement en stage à Limoges. C’est l’illustration de relations très étroites entre l’université des Mascareignes et celle de Limoges.

Concours d’éloquence en français : Le jury surpris par le niveau des participants

24 March 2019


Le concours d’éloquence organisé à l’occasion de la Journée mondiale de la francophonie a été un succès. Le jury a été très impressionné par le niveau des participants. Ils étaient plus de 300 lycéens et collégiens de Grade 12 de même que 30 étudiants de premier cycle universitaire.

 

L’évènement a été organisé conjointement par l’ambassade de France, le ministère de l’Education, avec la contribution du Conseil départemental de La Réunion pour les prix. La remise des prix aux lauréats a eu lieu le lendemain de la finale, soit le mercredi 20 mars, journée mondiale de la francophonie, à l’Institut français de Maurice à Rose-Hill.

 

Alexia Quenette, étudiante en première année de droit à l’université Paris II Panthéon-Assas (campus de Médine) a raflé le premier prix de la catégorie enseignement supérieur avec une intervention autour du thème « Les traditions : Richesse ou carcan ? ».

 

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